Banques en Europe : statut dégradé et perte de profits

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Banques en Europe : statut dégradé et perte de profits
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Anonim

Chaque personne aspire au confort et à la sécurité totale. Dans le même temps, la sécurité des biens et des fonds occupe une position prioritaire. La plupart des gens font confiance aux banques pour stocker leur épargne. La principale différence entre les institutions financières choisies pour les dépôts est la localisation territoriale. Si la majorité des clients choisit des organismes nationaux, alors le petit groupe restant préfère les organismes de crédit, dont le statut et l'image sont confirmés depuis des années, voire des siècles de travail. Il s'agit principalement de banques européennes.

"Messieurs" du Vieux Monde

Banques européennes
Banques européennes

Ces organisations sont les plus anciennes institutions financières du monde. Pendant longtemps, les institutions en Suisse ont été considérées comme l'une des banques les plus "solides" et les meilleures. A ce stade, les banques stables et efficaces en Europe incluent dans leur liste des établissements situés dans d'autres pays. Il convient de noter que ce sont les institutions de l'Ancien Monde qui ont un impact significatif sur le développement de la sphère mondiale du financement, de l'investissement et du prêt. La raison en est l'unification des pays européens sous les auspices de l'Union européenne. L'introduction d'une monnaie unique a permis d'examiner plus efficacement les propositions d'injection de liquidités dans des projets dans différents pays. Et manipuler les indices de refinancement avec plus ou moins de succès. En fin de compte, en raison du "jeu" avec les taux de prêt internationaux, de nombreuses banques européennes sont "attaquées" par le comité antimonopole. Cette commission va appliquer d'importantes sanctions financières à de nombreux établissements de crédit.

"Jeux" allemands

En raison de manipulations des taux de refinancement, une Deutsche Bank (Allemagne) de haut rang est obligée de mettre de côté environ 1 milliard 200 mille euros pour les litiges. Et ce n'est que pour la première audience. Le triste sort de cette organisation a également été partagé par JP Morgan Chaise, HSBC et bien d'autres. Le Comité antimonopole de l'Union européenne accuse ces institutions de manipuler le taux Libor (London Interbank Offered Rate). Le résultat de cette grande histoire a été une amende de deux milliards et demi d'euros.

Deutsche Bank Allemagne
Deutsche Bank Allemagne

Ne se remettant pas du choc, la banque allemande a de nouveau été impliquée dans le second scandale. Cette fois, la commission a constaté des violations dans le processus de fixation du taux de financement moyen de l'Euribor. En termes simples, cet indice montre le pourcentage auquel les banques européennes se prêtent entre ellesde l'argent pendant une certaine période. Cet instrument de refinancement est également appelé International Offered Rate.

Dans le même temps, les scandales qui ont éclaté autour de cette question ont eu un effet néfaste sur les revenus globaux de l'institution. En 2013, le bénéfice net de Deutsche Bank a été multiplié par 15 par rapport au précédent et s'est élevé à un peu plus de 50 millions d'euros pour l'avant-dernier trimestre.

Triste "allié" de Suisse

La célèbre banque UBS (Suisse) participe également au triste événement du « jeu » avec le taux Libor. Après avoir payé une énorme amende, l'organisation a "clôturé" 2012 avec un gros moins de 1,7 milliard d'euros. L'année 2013 s'est avérée plus fructueuse dans les activités de l'institution financière. Bien que la banque ait transformé son travail en une direction rentable, la rentabilité prévue de 15 %, hélas, n'a pas été reçue.

ubs banque suisse
ubs banque suisse

De nombreux financiers conviendront sans doute que pour l'ensemble de l'économie mondiale, les "jeux" bancaires des institutions du Vieux Monde ne peuvent aboutir à rien de bon: organisations, déposants, pays et continents subissent des pertes. De nombreux établissements de crédit sont menacés de ruine.

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